Medias

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What is a medium? What are the relationships between media? Can the web be considered a medium? The Canada Research Chair is developing an intermedial approach for addressing these questions, all while challenging the traditional definitions of terms such as “media,” “mediation,” etc., in order to avoid adopting an essentialist perspective. One of the key concepts of this line of thought is that of “mediating conjunctures.”

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Congress 2016

The Canada Research Chair will attend the 2016 Congress, in the framework of the Canadian Society for Digital Humanities (CSDH/SCHN) conference
Calgary
30-31 mai 2016

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Rewriting the Trans-Canada Highway in the Digital Age

How can we think of space in the digital age? This project aims to explore this question by proposing both theoretical and practical avenues of reflection. The mythical space of the Trans-Canada Highway will be just as much the field of study as the field of exploration for our research.

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Projet Profil

Initially conceived for strictly practical reasons, users’ profiles have little by little become unexpected spaces of self-expression and writing. This project aims to understand this new profiling structure, in order to analyze the theoretical and aesthetic issues at play.

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Peppe Cavallari, « Safety check : réseaux numériques et sentiment de sécurité », Sens Public, novembre 2015.

La fonction de contrôle d’absence de danger (safety check) activée par Facebook lors des attentats terroristes à Paris, nous a permis d’acceder à un ultérieur niveau d’intimité, nous entrelaçant encore une fois de plus au réseau dont nous faisons partie et qui fait autant partie de nous. Le rôle assumé par la plateforme de Zuckerberg pendant cette nuit de terreur, pose autant de questions philosophiques sur la relation entre individuel et collectif que de problèmes politiques sur l’institutionnalisation d’une entreprise privée, forte d’une infrastructure transversale aux limites de l’appartenance nationale de tout en chacun et qui, aujourd’hui, hors du web n’a pas de compétiteurs dans une capacité de plus en plus cruciale : celle de nous saisir en tant que élément d’un réseau.

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Thomas Carrier-Lafleur et Guillaume Lavoie, « La réflexion médiatique dans Kid Sentiment de Jacques Godbout », Nouvelles vues. Revue sur les pratiques et les théories du cinéma au Québec, 2015.

Réalisé en 1967 et sorti en 1968, Kid Sentiment propose une réflexion dont le sujet est au moins double. D’un côté, il s’agit d’enquêter sur la « jeunesse d’aujourd’hui », grâce à la participation de deux membres du groupe rock Les Sinners, François Guy et Louis Parizeau, accompagnés de leurs deux amies de cœur, Andrée Cousineau et Michèle Mercure, quatre jeunes gens qui pour l’occasion incarnent des adolescents très « à gogo » en pleine découverte de la carte de Tendre. Par un maillage très serré de modes de communications, dont le présent article proposera l’analyse structurale, Godbout explore les différentes situations et thématiques constitutives de l’imaginaire de cette jeunesse « gogo » ou « yéyé ». D’un autre côté, ce treizième film sert de laboratoire réflexif pour le réalisateur, dans la mesure où à la question symbolique « qu’est-ce que la jeunesse en 1967-68? » s’ajoute une réflexion formelle sur le statut du cinéma direct, dont Kid Sentiment représente une manifestation tardive, et en cela maniériste.

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Servanne Monjour, « Les virtualités du sténopé dans « Le Retour imaginaire » d’Atiq Rahimi », in Jean-Pierre Montier, (éd.). Transactions photolittéraires, éd. Jean-Pierre Montier, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2015, (« Interférences »), p. 359‑371.

Depuis quelque temps déjà, le bruit court que nous serions entrés dans « l'ère du virtuel», sans que l'on sache très bien ce qu'une telle expression signifie - et qui, d'ailleurs, cache une grande confusion avec l'avènement des nouvelles technologies numériques. Si, incontestablement, l'outil numérique aura marqué le tournant du XXIe siècle, la révolution souvent promise se traduit par davantage de permanences que de ruptures: c'est ainsi que, dans le champ de la photographie, on n'en finit plus d'attendre la disparition définitive de l'argentique, dont la mort est sans cesse reprogrammée. [...]

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