Certes les éditeurs ne font pas toujours leur travail. Mais les chercheurs eux-mêmes, par leurs motivations affichées ou cachées, ont une grosse responsabilité.
Notre façon de penser l’événement, d’en parler, fait partie de l’événement. Réflexion autour de cette « éditorialisation » et du rôle d’Anonymous dans cette appropriation/relecture collective.
« Le » numérique n’est ni un bien ou ni un mal, mais les technologies produisent un espace social particulier, avec des valeurs spécifiques. Il faut donc en faire une critique. Pour s’en libérer.
Les éditeurs scientifiques et techniques font-ils vraiment leur travail de diffuseurs de la connaissance ? Pas sûr. Et si la solution passait par une diffusion gratuite des savoirs ?
Connexion