S'inscrivant au croisement de travaux de plus en plus nombreux consacrés à l'histoire de la lecture, ce livre conduit une réflexion sur les transformations de nos rapports avec l'écrit et avec la lecture introduites par les nouveaux médias, sur la place et l'avenir de l'écrit dans notre civilisation.
Questions of gender and genre in Frankenstein remain complex issues for contemporary critics, in the novel itself as well as in its cinematographic adaptations, from John Whale's classic 1931 version to Kenneth Branagh's 1994 "Mary Shelley's Frankenstein." Though science seems to be the unifying principle behind the main story of the novel and the films, I will argue that Shelley incorporates science and sexual orientation within her novel in a way that differs significantly from the films, and especially from Branagh's version.
Le premier quart duXXe siècle aura été l'ère des grandes premières au Québec comme ailleurs, au Québec plus qu'ailleurs. Car si la scène québécoise d'alors n'est pas restée étrangère et insensible aux innovations techniques, à la révolution de la mise en scène, au renouveau du répertoire ou à la redéfinition du jeu théâtral qui caractérisent la modernité, elle a aussi été marquée à l'échelle locale par le développement fulgurant du théâtre professionnel francophone. [...]
Prefaces are often disregarded by readers who, more often than not, start without taking time to peruse them first. Sir Walter Scott knew this perfectly well, and he wrote about it, very wittily, in 'A PostScript Which Should Have Been a Preface', the last chapter of his novel Waverley written in 1814: 'most novel readers, as my own conscience reminds me, are apt to be guilty of the sin of omission respecting the same matter of prefaces' . Scott refers to novel readers but poetry readers are also 'guilty of the sin of omission', maybe even more so in so far as they may wish, understandably enough, to read only poetry and not a prose introduction. Many critics include prefaces in their analysis, but most of the time only as a means of interpreting the work they precede. Thus critics limit the role of prefaces simply to introductory materials and exclude any other potential interpretation. It is sometimes forgotten that the very presence or absence of a preface is already pregnant with meaning. [...]
En juin 1995 se tenait à Montréal le congrès de la FIRT (Fédération internationale pour, la recherche théâtrale) sur l'acteur/l'actrice en scène : corps/jeu/voix. Ce congrès dont nous étions les organisateurs a donné lieu à quinze (15) conférences, cent cinquante (150) communications réparties en séances thématiques et groupes de travail. Le sujet a suscité un immense intérêt dont font foi les discussions et le nombre élevé de participants (500). Une fois le Congrès passé, nous avons eu le désir de poursuivre le travail entrepris en publiant un certain nombre d'interventions sur des sujets spécifiques. C'est ainsi que nous avons envisagé la parution de livres et de numéros spéciaux de revues, entre autres sur la formation de l'acteur, les théories du jeu, Tinterculturalisme, le corps théâtral et le regard du spectateur.
Cet article propose un tableau précis des liens étroits qui unirent le cinéma des premiers temps à l’institution théâtrale montréalaise existante. À cette époque, le cinéma joue un rôle central dans les stratégies d’émergence du théâtre francophone qui s’éloigne alors du théâtre anglophone, son rival issu de la ville de New York, tout autant qu’il joue un rôle d’attrait dans un contexte de vive concurrence. Non seulement cela donne-t-il lieu à des scènes mixtes (théâtrales et cinématographiques), mais également à une interprétation plus profonde de deux arts qui aboutit aux premières manifestations d’un cinéma-théâtre québécois.
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